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10/03/24

Premières contestations...
dont l'argumentation nous semble irréfutable...


1) le STOP.

Le principe de l'arrêt complet au "stop" date des débuts du code de la route (1920 aux USA), et il a été purement et simplement démoli par la mise en place du "cédez le passage" vers 1946, avec une généralisation remplaçant de nombreux "stop" en 1974.  Il devient dès lors incompréhensible d'estimer que dans les mêmes situations de "perte absolue de toute priorité" un conducteur puisse être considéré, dans un cas comme capable d'analyse autonome et de choix de son action, et dans l'autre cas comme totalement incapable de cette responsabilité.  On peut y ajouter que dans tous les autres cas de priorités définies (simple priorité à droite, feu rouge muni d'une flèche "tourne à droite", et "cédez le passage") les conducteurs bénéficient d'une totale autonomie de choix de leur manœuvre.  Le "stop" constitue donc le seul déni d'autonomie et de responsabilité des conducteurs sans aucune justification légitime et acceptable, MAIS il fournit l'occasion de milliers de verbalisations abusives et malhonnêtes, ET l'entretien d'une véritable soumission imposée.

2) Les limitations de vitesse.

2.a- Le cas du "80" :  Cette arnaque gouvernementale était destinée à provoquer des recettes supplémentaires non dénommées "impots" et l'obéissance imposée qui a été si bien utilisée pendant le fake-covid.  Aujourd'hui la moitié des départements ont rétabli en tout ou partie l'ancien "90" sur leurs réseaux routiers.  Or, en France, la Loi générale ne se fait en aucun cas "par département", ce qui contredit "Egalité" de notre devise nationale.  Il y a donc lieu de contester formellement le "80" et de ne plus le respecter après en avoir demandé la modification à votre Conseil Départemental, et prévenu votre Procureur avec copie à votre gendarmerie/police locale.

2.b- L'ensemble des limitations :  C'est un fait établi de la réglementation routière que l'écart entre les vitesses établies pour les différents secteurs (routes, rocades, ville, travaux, écoles) a toujours été de 20k/h (anciennement xx,80,60,40... puis 90,70,50,30...).  On peut en conclure que le législateur (comme les techniciens) ne considère pas utile et nécessaire de fixer des limites régulières par tranches de 10k/h.  La conclusion évidente est qu'une différence de 10-12k/h ne constitue pas un tel danger qu'elle justifierait sa mise en place généralisée (il y a évidemment quelques exceptions en petit nombre et très localisées).  Ceci suffit à démontrer la malhonnêteté d'une réglementation qui prévoit de verbaliser un non-respect de la vitesse à partir de 5k/h de dépassement.

2.c- Conditions de circulation :  C'est une évidence indiscutable que la vitesse à observer pour conserver la maîtrise de son véhicule, et donc une sécurité acceptable pour l'ensemble des usagers, dépend de plusieurs facteurs dont les plus importants sont la météo (pluie, neige, verglas, brouillard, vent fort) et la densité du flux de circulation.  On omet volontairement les autres facteurs particuliers :  état du véhicule, état du conducteur (réflexes, fatigue...) qui sont aléatoires et annexes.  C'est donc par un abus manifeste et délibéré que le législateur prétend nous imposer une vitesse limite à 5k/h près, partout, et 24h/365j.  Le meilleur exemple en est donné par la limitation devant les écoles à un "30" impératif et permanent.  Or si l'on veut bien considérer que cette limitation n'est légitime qu'en présence de très nombreux piétons (parents et élèves) aux heures d'entrées et de sorties des cours, il est évident que cette limitation est totalement abusive toute la nuit (~12h), les week-ends, jours fériés et périodes de vacances scolaires, soit un minimum de 184 jours complets et 181 nuits.  Le résultat est édifiant, cette limitation n'est légitime que 25% du temps annuel sans même avoir encore parlé des périodes de cours effectifs (minimum de 5 à 6h/jour sans circulation piétonne), ce qui réduit le temps utile à moins de 15% du temps annuel.
L'abus de pouvoir et de réglementation inutile est éclatant.

Il faut donc entamer la contestation formelle de ces deux sujets, ce qui permettra, après avoir démontré la malhonnêteté délibérée de nos gouvernants, d'en attaquer bien d'autres.


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